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Lab instructions for given lab in Chemistry
Typology: Lecture notes
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Il existe deux types de rapport : un rapport court et un rapport long. Un rapport long est plus élaboré et plus complet. Ce type de rapport comprend plusieurs sections : page titre, le but, la théorie, le matériel, les manipulations, les résultats, les graphiques (s’il y a lieu), l’analyse (s’il y a lieu), discussion des résultats et bibliographie. Le rapport court ne comporte que 4 étapes : page titre, le but, résultats et discussion. Ce rapport est requis dans le cas d’une Démo faite par l’enseignant par exemple. Remarque : dans les deux cas les rapports doivent être brochés (pas de trombones S.V.P). Toute lecture effectuée au laboratoire et inscrite dans un rapport doit être accompagnée de son incertitude. Il faut aussi que le nombre de chiffres significatifs que comporte cette valeur soit cohérente avec son incertitude. Par exemple, on peut écrire d'un objet pesé sur une balance dont l'incertitude est ± 0,02 g que sa masse est 1,70 g, mais pas 1,7 g (la balance permet une plus grande précision) ni 1,7000 g (la balance ne mesure pas au-delà de la deuxième décimale). Les règles concernant les chiffres significatifs et les incertitudes sont expliquées dans le document remis par votre enseignante Lorsqu'une valeur numérique contient une/des décimales, celles-ci sont séparées des autres chiffres par une virgule et non pas par un point. Pour chaque graphique présenté dans le rapport, on doit aussi présenter un tableau contenant les valeurs numériques illustrées par le graphique.
La page titre doit comprendre les items suivants : le genre de document, le titre du laboratoire souligné, le ou les auteurs et leurs groupes, le destinataire du rapport, le titre du cours, le nom de l’école ainsi que la date de remise.
Dans cette section les objectifs de l’expérimentation doivent être clairement formulés par une phrase courte. La phrase doit débuter par un verbe d’action cette section n’est une description de la méthode, cependant le nom de la méthode utilisée doit être mentionnée. Exemple : Déterminer la concentration d’acide acétique CH 3 COOH dans une solution commerciale de vinaigre par titrage avec une solution étalon d’hydroxyde de sodium 0,10 molaire (M).
Cette partie doit contenir l’ensemble des connaissances théoriques (les principes et les lois impliqués dans l’expérimentation) nécessaire à la bonne compréhension de l’expérience. Cette partie nécessite de consulter des références et d’inclure ces références dans la bibliographie Les éléments théoriques sont présentés dans un enchaînement logique qui permet de suivre le déroulement de la stratégie établie pour atteindre le but de l’expérience. On mentionne ici quelle(s) réaction(s) chimique(s) est (sont) en cause. On écrit également les équations mathématiques nécessaires à l’expérience, et leur utilité dans le calcul (ex : « cette équation permet de trouver la masse volumique de notre liquide On mentionne ici la méthode utilisée, et on mentionne pourquoi on utilise ladite méthode (grande efficacité, facilité d’usage, etc.)On doit aussi expliquer l'approche expérimentale choisie. Dans les cas simples, il peut suffire d'énoncer les variables qui seront observées. Dans les cas plus complexes, on doit expliquer les étapes expérimentales qui permettront d'atteindre le but, mais sans aller jusqu'à détailler les manipulations qui seront énumérées dans la section manipulation. On explique également le ou les traitements qui seront utilisés pour interpréter les mesures ou les données qualitatives ou semi-quantitatives. Par exemple, si un traitement comprend une étude graphique, on doit expliquer pourquoi on a décidé de faire tel ou tel graphique, ce qu'on en tire et comment celui-ci permettra d'atteindre le(s) but(s) de l'expérimentation. Cette partie comprend ¼ de la feuille. Exemple d’approche expérimentale :