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Question 1 : L’auteur discute dans ce premier chapitre de la notion de progrès technologiques en montrant que les humains sont devenus des créatures expérimentales de notre propre main-d’œuvre. Tout d’abord, Ronald Wright observe sans catastrophisme, mais avec une certaine inquiétude, sur une très longue période, la tendance fréquente des civilisations à grandir et à développer leurs moyens techniques, jusqu’à un point de non-retour où elles surexploitent leurs ressources et en viennent à s’effondrer. C’est ainsi que comme certaines civilisations, ils établissent une évolution fleurissante, notamment grâce à l’invention de systèmes d’irrigation avancés et performants comme l’explique très bien l’auteur. Trop performants, en fait, puisque cette irrigation extrême finit par conduire à la salinisation des terres et à leur transformation permanente en désert. Les civilisations avaient construit de grandes villes et ouvert des vallées entières à l’agriculture. La déforestation entraînée par ce développement intensif devait toutefois provoquer des phénomènes d’érosion catastrophiques et l’effondrement des sociétés, dont plusieurs villes ont été par la suite abandonnées. L’archéologie nous montre clairement que des secteurs avaient été déboisés et pendant mille ans, la forêt a repris ces droits. En fait, la tendance remonte même au-delà de la civilisation, à l’époque préhistorique, où les hommes ont provoqué les premières extinctions massives de grands mammifères. Finalement, comme l’écrit Wright, « les chasseurs du Paléolithique qui ont appris à tuer deux mammouths au lieu d’un seul avaient fait du progrès. Ceux qui ont appris à en tuer 200 en faisant culbuter un troupeau au bas d’un escarpement en avaient fait bien trop. Ils ont mené la grande vie pendant un temps, puis ce fut la famine. »
Question 2 : L’humain moderne il est capable de marcher sur de grandes distances grâce à sa posture parfaitement verticale. Il construit des abris et des campements. Il maîtrise le feu et améliore la technique de la taille de pierre pour la fabrication des outils. Alors que l’homme Néandertal se distingue morphologiquement de l'homme moderne. S'adaptant à son environnement, il est considéré comme un homme du froid et robuste dont les caractéristiques sont similaires à celles des Inuits actuels et différentes de l'homme moderne. Par ailleurs, il a un crâne tiré vers l'arrière avec la face ramenée vers l'avant et son menton n'est pas dessiné. Il est légèrement plus petit que l'homme moderne. L’outil sert non seulement à dominer le monde extérieur, mais aussi à le comprendre. La transmission d’un savoir et d’un savoir-faire indique dès lors l’apparition d’un système de communication va servir à maîtriser le langage structuré qui relève d’une expérience sociale. La vie sociale se développe autour du feu. Le feu qui sera un formidable moteur d’hominisation. Il permet à l’homme de pénétrer dans les cavernes, ainsi que de le chauffer. Question 3 : L’essor des civilisations est grandement lié au développement de la technologie. Selon l’auteur, il dit que la culture se modifie à grande échelle comparée aux gènes. De plus, la civilisation ne remonte pas aux temps très anciens. Elle prend énormément de place puisqu’elle est à la fois la cause et l’effet d’une explosion démographique qui ne s’est pas encore stabilisée. L’auteur précise que le terme « civilisation » et le terme « culture » sont en quelques sortes reliés. Par le
comment l’humain succombe. L’humain devient donc sa propre victime. Ensuite, il y a environ deux siècles après l’invasion du Pérou par les Espagnols, une force navale hollandaise était dans les mers du sud et elle tombe par hasard dans les Andes. Les hollandais le jour de Pâque en 1722, comme nous le raconte Ronald Wright, découvre une île inconnue. Ils ont été impressionnés par ses énormes collines et par ses gigantesques pierres. Le grand mystère de l’île de Pâques à frapper ses visiteurs pas seulement à cause de ses immenses statues colossales, mais surtout à cause du fait qu’ils ne croyaient pas en la construction de ses immenses pierres. Les Pascuans se demandaient qui aurait pu mettre ses statues-là et comment elles ont atterri, selon eux c’était impossible que ça soit humainement fait. Ces pierres sembleraient avoir été mis sans appareil de levage comme si elles sont descendues du ciel. Aujourd’hui, on sait que l’île de Pâques est une catastrophe survenue par l’homme, parce qu’aucun désastre naturel n’était venu changer cette île ni d’éruption volcanique ni rien. Cette île était riche en produits de la mer. Sur le plan social, l’île s’accroît et se divise en plusieurs clans et rangs. Il y a un moment qui était survenu où les bois et l’alimentation cessent d’être disponible chez ce peuple. Les Pascuans se firent de nombreuses fois la guerre entre eux. Un échange entre les Pascuans et les Européens étaient fort et nuisible à la population. L’arrivée des européens amènent des maladies et la mort à plusieurs de ses individus. Question 5 : Ni épidémie, ni malédiction, ni tremblement de terre, l’extinction de la civilisation maya n’a pas eu lieu du jour au lendemain. Une architecture majestueuse et une connaissance approfondie de l'astronomie et des mathématiques distinguent les Mayas parmi les grandes cultures du
monde antique. Ce peuple avait construit d'immenses pyramides et autres monuments en pierre taillée, sans la roue et sans outils en métal. Les Mayas abandonnent leurs centres urbains autrefois très peuplés et tombèrent en ruine. La disparition de la civilisation maya est l'un des mystères de la recherche anthropologique. L’histoire des Mayas montre et prouve que les civilisations se comportent comme les ventes pyramidales de nos jours. De plus, ce qui peut apparaître comme une force se transforme vite en faiblesse. Par conséquent, avec la haute croissance de la population, les paysans cessent de respecter ce temps de repos et augmentent la rotation des cultures. Les terres s’appauvrissent davantage et très rapidement. Les rendements deviennent de plus en plus faibles. Les cultivateurs n’ont pas d’autres choix que d’étendre leurs territoires agricoles au détriment de la forêt. Malheureusement, il va se passer qu’il y aurait une déforestation massive qui va accentuer l’érosion des sols. Il y a des facteurs nuisibles qui apparaissent comme la mal nutrition, la famine et même que la région maya a connu des phases de sécheresse extrême. Ceux-ci vont créer donc des maladies qui poussent alors les populations mayas à fuir les villes et se mettre en petits groupes. La structure du territoire, constitué de plusieurs cités indépendantes, alimente la compétition. Pour marquer sa domination sur ses voisins, le roi doit étaler toujours plus de richesses. Puis, l’essor des villes intensifie cette course au prestige ce qui mène peu à peu les cités à la ruine. Il y a aussi la guerre et les rivalités qui éclates. Le nombre et l’intensité des conflits augmentent. Question 6 : Ronald Wright parle d’une éventuelle détérioration irréversible de l’environnement qui provoquerait un effondrement des civilisations. Il parle de capital naturel également. À cause